Perdu ? non pas si sur ! [ PV~Marshall ]

Je me réveille dans un champs. Oui un champs. Il n'y avait que sa a perte de vue. Mais avec l'hiver la terre était dur et froide et rien ne sortait de la terre. Pour dire que j'étais facilement repérable. Il n'y avait pas de neige, comme ces dernier jours. Je ne sais plus trop ce qui c'est passer. Ma tête tourne horriblement suivit d'un mal de crane aigu. Mais j'ai fait quoi pour arrivée là ? Je me leva avec beaucoup de difficulté et cherchas quelque chose. une chose qui pourrais m'expliquais la situation. Je commencer a avoir peur et je me mis a paniquais. Non il ne fallait pas, je devait rester calme est réfléchir. Je m'allongeas et cherchas au plus profond de moi ce qui c'est passer. Mais c'était horrible, il n'y a qu’un grand trou noir dans ma mémoire.

Je me relevas et a se moment une bourrasque de vent s’engouffra dans mon cou. Je fermas les yeux et pencha la tête. Je me mis a avancer un peu histoire de me réchauffer. Mes membres engourdis avait dus mal a se déplier du a mon mauvais sommeil. Quand je relevas la tête je voyais un arbres au loin. Ah il me protégeras un peu du vent c'est déjà cela. En quelque foulée de galop j'y fus vite arrivée. Je m'allongeas au sol et frottas mon encolure a l’écorce. Il faut que je trouve pourquoi je me suis réveiller dans ce champs.

Soudain un flash back me vient : " Il fait noir, donc c'est la nuit. Et je galopée ... " . Plus rien. Cela m'avance bien. Je soupiras et regardas autour de moi. Personne, pas un chat a l'horizon. C'était bien ma veine. Je grattas le sol avec mon antérieur gauche histoire de faire passer le temps. En prient qu'un nouveau flash me revienne. Je me retourner toujours pour voir si quelqu'un pouvais passer par là. Il ne fallait pas que je me fasse prendre par surprise par l'un des pirate du coin. Dash' m'avais recommander de les éviter. Je suis tout a fait de son avis. Donc je restais sur mes gardes, a l'affut du moindre danger, je décamperais.

Repos.
Rare était ces jours, calme et où il pouvait être seul. Les jours de repos.
En toute logique, il est censé rester chez les autres mais... Franchement chérie, Marshall il se casse si il veut, il connait son chemin.
Il connaissait les terres Pirates, et même sans Maître, il pouvait très bien faire sa ronde.

Fière, la tête haute, ses muscles puissant roulant sous sa peau brune, il avançait sans aucune discrétion, montrant sa présence, prévenant qu'il était dans les parages. Sa carrure forte mise en avant, le poitrail bombé et l'encolure fièrement arquée, alors que sa longue queue de jais était légèrement en panache pour éviter a ses crins de traîner au sol.
Malgré le fait qu'il soit borgne, une fois arrivé au champ, il s'immobilisa et ne fit que scruter les horizons de son unique oeil visible, voyant encore une silhouette, petite, allongée ou agonisante au pied de l'arbre.
On y va ?
Hmm... Si c'était quelqu'un qui agonisait, ça allait être drôle, si c'était une sauvage, il allait pas se gêner pour se faire respecter et comprendre.
Un sourire étira sa commissure de lèvre, prolongée par ses cicatrices lui donnant un air un peu... Fou. Dans un trot fière, droit, il s'approcha d'aller, martelant le sol durcit par le froid de ses sabots aiguisé par l'Homme dans des bruits sourd, s'arrêtant juste en face d'une petite jument noir et blanche. < Et alors ma grosse, qu'est-ce que tu fous là ? >

Un bruit sourd me fis tourner la tête. Un cheval venait vers moi. Flute. De la où il était il m'avais surement vu pas le temps de partir. Je fis style de pas l'entendre arrivée. Quand il s'arrêta devant moi je regarder du coin de l’œil ses cicatrices horrifiante. Il s'est battu avec un montre ou quoi ? mais je cacher ma surprise je fis celle qui voyais juste un cheval en face d'elle. Un étalon plus précisément. Couleur café, chocolat ... dans ses tons là.

- Et alors ma grosse, qu'est-ce que tu fous là ?

J'étais choquer par son propos qui venait de me tenir. Je laissa tomber ma mâchoire inférieur. Non mais pour qu'il il se prend ? Bon je vais pas le rembarrer quand même. Ba oui je suis perdu, y'a que lui qui peut m'aider et puis je suis pas de ce type de jument là. Je me levas et m’ébrouas pour faire partir la poussière de mon poils. je regardas tout de même ma silhouette, pour vérifier si ce qu'il disait était faux. Cela me gênas fortement. Je ne suis pas grosse, je suis forte et musclé ! C'est autre chose tout de même. Je le regardas avec un air renfrognais.

- Je ne suis pas ta grosse ! Et je suis perdu ... enfin je crois .... je ne sais plus.

Il va me prendre pour une folle ! Je ne sais même pas ce que je fou là alors comment je pourrais lui dire ? En tout cas il ne pourras pas m'aider. enfin si dire ou je suis et comment retourner chez moi. Oui cela est assez simple et facile. Même si sa n’enlève pas mon mystère. Je perdrais la mémoire ?

- Dis moi pourrais tu m'aider a retrouver mon chemins ?

Il ne c'était pas battu contre un monstre. C'était lui, le Monstre.
Malgré son unique oeil valide, il pouvait très bien l'observer. L'oeil recouvert par un cache était lui-même enfuie sous son massif toupet ébène, lui donnant ainsi l'allure d'un cheval normal, d'autant plus qu'il se tenait droit et fière.
Elle s'était relevée, après avoir été choquée par ses paroles, et il ne sourcilla même pas, la regardant s'ébrouer, et il eut même l'occasion de la voir se regarder, regarder sa propre silhouette, comme pour s'assurer qu'elle n'était pas grosse. Un mince rictus amusé et discret apparu.

- Je ne suis pas ta grosse ! Et je suis perdu ... enfin je crois .... je ne sais plus.

Doucement, l'étalon s'approcha de la jument, de son allure fière et dominante, à la fois protectrice, et il alla doucement frôlé l'encolure de la bicolore à l'aide de son bout du nez, tournant autour en faisant se frôler leur flanc, s'arrêtant lorsqu'il fut de l'autre côté, collant son épaule à la sienne < Je plaisante, tu es parfaite... > Il lui murmura ça au creux de son oreilles avant de se décoller de la noir et blanche

- Dis moi pourrais tu m'aider a retrouver mon chemins ?

Ca, c'était lui lancer une perche.
Un sourire pseudo-doux étira ses lèvres, voulant la mettre en confiance avant de se ré-avancer vers la douce. Toujours à l'aide de son bout du nez, il alla lui frôler le chanfrein, jusqu'à mettre ses naseaux contre les siens, soufflant de l'air chaud dans ceux de la jument. < Où veux-tu aller ? >

Il m'observait de pré, tournait autour de moi, me frôlait. Cela était étrange et je ne me sentais pas bien. Bel étalon mais un peu trop collant. Je le surveiller droit dans les yeux en attende d'une réponse.

-Où veux-tu aller ?

Et bien c'était direct comme réponse. Il avait dit sa dans en mettent son naseau contre le mien. et me souffla de l'air chaud. Je me dégageas tout en fessant jouer mon nez de la trompette. J'étais gênais et ne pouvais supporter son regards. Je bafouiller et je savait plus quoi dire. Ho mince c'est quand même une situation délicate. J'aurais bien envie de détrousser comme un lapin mais s'il me rattrape cela ne se passeras pas très bien. Vu sa musculature. Bon fallait pas le brusquer et être très gentille. Je pourrais lui faire du charme ? heu non mauvaise idée. je levas la tête et le regardas bien droit dans les yeux.

- Je ne sais pas si tu connais !

C'est malin je lui donner pas mon itinéraire. Mais son regards me déstabiliser. Je me repris et surmonta son visage. Ah sa cicatrise me fait froid dans le dos. Ou plutôt ses cicatrises. Je grattais le sols, changeais tout le temps de pieds, fouettais l'air de la queue, balançais ma crinière dans le vent. Cela apportas un certain effet.

- J’appartiens au troupeau de Little Smile et c'est là bas ou je vie.

Sensations.
Il ressentait bien sa gêne, il voyait bien que son attitude la mettait mal à l'aise, mais c'était voulu dans un sens.
Au début, lorsqu'elle se recula, il ne bougea pas, il restait de marbre et immobile, la fixant de son oeil jaune transperçant, alors qu'elle osa le regarder dans les yeux, même pour une fraction de secondes.

- Je ne sais pas si tu connais !

Du vent.
Si tu ne le lui dit pas, effectivement il ne pourra pas connaître. Elle était drôle, elle traduisait sa gêne par des gestes de nervosité, grattant le sol de ses antérieurs, chacun à leur tour, comme si son but était de faire un trou, et dès lors, il se rapprocha à nouveau d'elle.

- J’appartiens au troupeau de Little Smile et c'est là bas ou je vie.

Il ne dit rien, pas de suite. Elle avait joué avec sa crinière, il allait bien devoir réagir. Il ne se stoppa qu'à quelques petits centimètres de la femelle, puis tendit l'encolure pour aller enfuir son bout du nez sous les crins de la demoiselle, allant souffler de l'air chaud de façon douce et réconfortante sur l'encolure de la demoiselle. < Je pourrais t'aider à retrouver ledit troupeau... >

Je l'ai remarquer depuis le début a quoi il jouer je n'était pas dupe. Après ma réponse il lui fallut un certain temps pur réagir. Il posas même son naseau sur mon encolure et souffla de l'air chaud. Ah cela me produisis des frisson partout. La même sensation qu'en le vent se glisse dans ton encolure. Je fis un rire de nervosité.

-Je pourrais t'aider à retrouver ledit troupeau...

Bien, et ba on avance là. Après coup, je réfléchie. Il pourras ... il ne peut pas donc c'est une hypothèse. houa qu'elle déduction j'en était assez fière moi même. Bon et bien nous allons pouvoir commencer a partir. Un sourire éclaira mon visage. Je commencer a redevenir *Happy*. Mais soudain encore un flask back * ... dans les pleine. Il y avait une lumière au loin. Je devais ... * Une nouvelle coupure. Énervais je fronças les yeux et ruminas des mots que l'étalon n'entendis pas. Et temps mieux. Je refis un sourire pour paraitre mieux.

- Et bien allons y alors.

Je commençais a avancer pour partir. Je ne regardas pas derrière moi s'il me suivais ou pas. Je claquement de mes sabots nu sur la terre gelée fessait un écho dans les champs vide. Enfin je m’arrêtas et me retourna.

Visiblement, non.
Pour quelqu'un qui voulait voir clair dans son petit jeu, elle enchaînait les boulettes.
Lorsqu'elle eut un moment d'absence, Marshall ne fit rien, il se recula juste, attendant qu'elle finisse par repercuter la terre, n'étant pas non plus là pour faire les gardes enfants.

- Et bien allons y alors.

Ah, elle semblait être de retour ? Il reposa son oeil jaune sur elle, la regardant, et elle partait ? Mon dieu.
Ma vieille, on ne t'avais jamais appris à ne pas montré la croupe à un étalon ? Et encore moins à un étalon pirate.
Un soubresaut fit tressaillir ses muscles, alors qu'il releva brusquement la tête pendant qu'elle s'éloignait. Il plaqua ses oreilles dans sa nuque et se mit à piaffer, fouettant furieusement l'air avec sa queue avant de bondir en avant pour la rattraper. En même pas une demie foulée de galop, il se retrouva le poitrail collé contre l'arrière-train de la jument, et dans un geste machinal, il alla lui mordre la base de la queue alors qu'il décalait son corps sur le côté, s'éloignant dès qu'il lâcha son emprise sur la queue de la jument, partant sur le côté par réflexe afin d'éviter les coups.
Il était sauvage, cocotte.

J'entendis piaffer et des fouler de galops qui se rapprochais. Quand je me retourna l'étalon était derrière moi le poitrail coller a mon arrière-train et il voulait me mordre la base de la queue. par réflexe je donna des coup de cu pour me libèrais de son étreinte. Non mais pour qu'il se prend. Encore une fois j'étais choquer. Mais s'est qu'il commence a me taper sur les nerfs celui là. Je m’arrêtas et je ne bougeas plus. Je le regardas avec mon fameux air de mauvaise. Je ne m'énerve que très rarement mais lui il me pompe bien le système. Il se trouvait maintenant a une dizaine de mètre de moi.

- Fait que tu te calme ! Si tu continue je rentrée chez moi tout seule.

Je trouverais pas mon chemin ... ok. J'ai besoin de lui .... ok. Mais faut pas abuser ! Je gratta a nouveau le sol par nervosité. ma queue fouettais le vent et le fis ma trompette avec mes naseaux. Si il se remet a galoper a fond de train je me barre d'ici. Cette étalon a beau avoir du charme, il fait peur. Il voulait m'aider ? non mais, c'est pas possible, il va pas m'aider ainsi. J'étais vraiment prête a me barrer d'ici sans lui. je sais que si je galope au plus vite il va quand même réussir a me rattraper. Bon je suis dans une grosse merde là. J'avais envie de lui hennir ses quatre vérité en face mais il me foncerais dedans telle un vrai bourrin.

Bon il faut se calmer. Eh bien oui il est mon seul espoir de retourner chez moi plus rapidement que toute seule. bon, déjà je me décrispa, détendis tout mes muscles et fis apparaitre un visage neutre. Ma respiration se calma et mes antérieur arrêtèrent de tremblés. Je fis le vide en moi, pour faire sortir la colère. être calme. Voila. Je ouvris les yeux et me mis a faire quelque pas vers lui, sourire au coin des lèvres. J’adoucis mon regards, celui-ci devient plus tendre. Arrivais devant lui je me stoppas et le regardas bien droit dans les yeux. La jeune jument de tout t'a l'heure n'était plus là, non une flocon sur d'elle était devant l'étalon.

Garce.
Elle avait osé essayé de lui ruer dessus. Oui, il avait eut la chance de décaler son corps avant, mais un sabot heurta son poitrail de plein fouet, n'arrachant qu'un râle à l'étalon, ainsi qu'un large sourire. La douleur, il aime ça.

- Fait que tu te calme ! Si tu continue je rentrée chez moi tout seule.

< Haha ! Tais-toi, stupide animal ! Tu n'es rien d'autre qu'une gourdasse perdue en plein milieu d'un champ. C'est MOI qui t'apporte de l'aide, et tu me menace de rentrée seule chez toi ? Mais fou donc le camp ma mignonne, t'es pas la dernière que je croiserai. > Elle allait réveiller ses instincts. Déjà sa phrase était sortie le plus naturellement possible, étant donné que la stupide menace de la jument n'avait pas de sens, c'était plutôt à lui de l'envoyer bouler.
Marshall bomba le poitrail en arquant son encolure, s'avançant vers la jument, son unique oeil jaune planté dans le regard de la petit jument, ses oreilles - du moins la valide - se dressa net sur son crâne et se pointa vers la jument, élargissant les lèvres noircie de l'étalon en un sourire carnassier.
Il s'avança jusqu'à se presser contre la jument, utilisant sa force et son poids pour la pousser, et la faire reculer sous sa pression.
Il lâcha une sorte de grognement avant de souffler, tel un taureau, sur la joue de la noiraude. < Tu n'as pas grand chose à dire. Regarde toi, tu es fluette, insignifiante... Et tu essayes de me tenir tête ? Pauvre 'tiote... > Il plissa les yeux en collant son chanfrein contre celui de la femelle.
Il se recula ensuite, d'un coup sec, planquant ses oreilles et d'un geste imprévisible donna un violant coup de dent sur l'encolure de la jument, refermant sa mâchoire tel un puissant étau sur sa prise avant d'aussitôt la lâcher et de directement se reculer, ronflant, et se retourna, sans doute pour partir.

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