Je venais de réussir à sortir du camp. J'en était bien heureuse. A présent, je profitait de mes quelques instant de liberté. Je me retrouvas dans une sorte de désert là ou de nombreuses dunes faisait leur apparition. Certes, je me doutait que cette instant de liberté ne durerais pas longtemps. Je savais très bien qu'il finirais par envoyer un cheval et son propriétaire pour venir me chercher. Je venais à peine d'arriver dans ce camp et pour le moment, je n'avais rencontrer aucun autre cheval.
Mais à l'instant, je ne pensait plus à cet horrible camp, ni à ces pirates cruels avec leurs montures. Je galopait, le vent dans les crins, en laissant une traîner de poussière, voleter derrière moi. Je dois avouez que la liberté m'allait à merveille mais quand on est jument de pirate, on a une chance sur mille de s'enfuir s'en se faire rattraper, alors, vu que je n'avais pas envie d'être poursuivie pendant des jours, j'avais préféré abandonnée l'idée de m'enfuir. Bien sur, un de ces jours, je réussirait à m'enfuir mais ce n'était pas l'idée du jour. Alors que cet instant magique se prolongeais, j'entendit des bruits de sabots lourds se posez sur le sol. Je m'arrêta net et pourtant, je savais très bien que cela devait être quelqu'un venant me chercher. Je n'avais pas envie de faire de la résistance, ils avaient de la chance.